Conservation de l'Amazonie, durabilité mondiale
La fondation Amazon Center for Environmental Education and Research (ACEER) forme des leaders environnementaux locaux et mondiaux qui œuvrent à la conservation et à la restauration de paysages fonctionnels dans le bassin amazonien et au-delà.
DSC_2108
flèche précédente
flèche suivante

Programmes d'études

 

Notre programme Bringing the Amazon Home s'accompagne de matériel pédagogique multimédia qui peut être mis en œuvre par des enseignants du monde entier. Les programmes couvrent l'ensemble de l'enseignement de la maternelle à la terminale, y compris les sciences de l'environnement, la sociologie, les mathématiques, l'art et bien d'autres choses encore !

Nos derniers articles sur le blog de l'ACEER

La lettre d'information de l'affluent
Karen Ford Swire

L'histoire de Julia

Julia Revill est entrée en contact avec ACEER par l'intermédiaire de son professeur à Georgetown, qui lui a fait part d'une opportunité de participer à l'expédition de recherche sur le terrain 2025 OnePlanet/ACEER Maijuna. Attirée par la conservation depuis son enfance, Julia a vu en l'Amazonie un endroit qu'elle avait toujours rêvé d'expérimenter de première main. Au fur et à mesure qu'elle en apprenait davantage sur le travail d'ACEER avec les communautés indigènes, elle savait qu'elle pouvait participer à une expédition de recherche sur le terrain en Amazonie.

Lire plus "
La lettre d'information de l'affluent
Brian Griffiths

Relance de l'affluent

Chers membres de la communauté de l'ACEER, J'ai le plaisir de vous accueillir pour le nouveau lancement de la lettre d'information de l'ACEER, The Tributary. Je m'appelle Brian Griffiths, le nouveau président de l'ACEER. Mon parcours au sein de l'ACEER a commencé en 2014 alors que j'étais étudiant et que je participais à une expédition pour le projet Ancestral Lands of the Ese'Eja financé par National Geographic.

Lire plus "
Conservation
Safa Daud

Ce que la COP29 m'a appris sur l'avenir de la conservation de l'Amazonie

Lorsque j'ai atterri à Bakou, en Azerbaïdjan, pour assister à la COP29, j'avais l'estomac noué. C'était la première fois que je participais à une conférence mondiale sur le climat de cette ampleur, et pas n'importe quel sommet, mais la conférence des Nations unies sur le changement climatique. Je ne savais pas à quoi m'attendre, ni qui j'allais rencontrer, ni où les jours à venir allaient me mener.

Lire plus "

S'ABONNER